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Saint généroux petit village à découvrir

Saint-Généroux est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département des Deux-Sèvres (région Poitou-Charentes).

Géographie

Le Thouet en amont du pont de Saint-Généroux

Au nord du département des Deux-Sèvres, la commune de Saint-Généroux est arrosée par un affluent de la Loire, le Thouet, sur la rive droite duquel est établi le bourg de Saint-Généroux.

En distances orthodromiques, ce bourg est situé au croisement des routes départementales 145 et 147, six kilomètres au nord d'Airvault et douze kilomètres au sud-sud-est de Thouars.

La départementale 121 passe également à l'ouest de la commune.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Généroux
Taizé Oiron
Saint-Varent Saint-Généroux Irais
Airvault Availles-Thouarsais

Administration

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
1971 1989 Paul Fautrat - -
1989 1995 Jean-Jacques Seranno - -
1995 réélu en mars 20082 Louis-Marie Champême - -

Démographie

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Saint-Généroux, cela correspond à 2004, 2009, 20143, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

Évolution démographique
196219681975198219901999200420062009
404 369 331 344 351 296 298 301 370

Lieux et monuments

  • L'Église pré-romane de Saint-Généroux est classée monument historique depuis 18468. L'église est l'une des plus anciennes du Poitou puisqu'elle date du Xe siècle. C'est un ancien prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Jouin de Marnes. Le sanctuaire a probablement été édifié à l'emplacement du tombeau du moine Generosus, devenu saint Généroux. L'église fut remaniée au XIIe siècle et a été largement restaurée au XIXe siècle (reconstruction du mur-clocher en 1892-1893).
  • Ruines de l'ancien couvent (autour de l'église) ;
  • Pont roman sur le Thouet, inscrit depuis 19269. Le pont roman a été construit par les moines de Saint-Jouin-de-Marnes au cours des XIIe et XIIIe siècles. Il se compose de cinq arches dont deux présentent des refuges piétons aménagés sur des avant-becs triangulaires en amont. Les arcs sont en plein cintre pour les trois du centre et brisés pour les deux autres. Long de 126 m, il est revêtu d'une chaussée pavée de plus de 80 m de long, qui lui donne un cachet remarquable.
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir

Personnalités liées à la commune

  • Généroux (VIe siècle), romain d'origine, moine puis abbé à Saint-Jouin-de-Marnes ; fêté le 16 juillet en Occident et le 10 juillet en Orient.

    Informations générales

    Saint-Généroux est une petite commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Deux-Sèvres et de la région Poitou-Charentes.
    Elle fait partie de la Communauté de communes "pour le développement de l'Airvaudais".
    Les 347 habitants du village de Saint-Généroux vivent sur une superficie totale de 20 km2 avec une densité de 17 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 95 m.
    Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 296 à 347 et a fortement augmenté de 17,23%.
    Les villes voisines sont Availles-Thouarsais, Irais, Taizé, Airvault, Luzay.
    La grande ville la plus proche de Saint-Généroux est Saumur et se trouve à 41,8 kilomètres au nord à vol d'oiseau.
    La gare la plus proche de Saint-Généroux se trouve à Thouars (12.63 kilomètres), Montreuil-Bellay (26.9 kilomètres).
    Le maire actuel du village de Saint-Généroux est Monsieur Louis-Marie CHAMPEME.
    Pour effectuer l’ensemble de vos démarches administratives en mairie (naissance, mariage, décès), vous pouvez contacter par téléphone ou par email l’équipe municipale à l’aide des coordonnées ci-dessous ou vous rendre directement au 2 rue de Thiors 79600 Saint-Généroux.

    Dernières images Mairie de Saint-Généroux
  • Maire: Monsieur Louis-Marie CHAMPEME
    2 rue de Thiors
    79600 - Saint-Généroux
    Mise en relation : 08 99 18 03 68
    (1,35€/appel + 0,34€+min)
    Site officiel de Saint-Généroux
  • Saint Généroux UN PEU +++    d'HISTOIRE

    Histoire générale, civile, religieuse et littéraire du Poitou (1885) – Auber Charles Auguste
    Volume 1 – page 374 du livre / 422 du pdf

    Saint Généroux était Romain de naissance. On ignore quels motifs lui firent abandonner l’Italie,sinon qu’il voulut par amour pour la solitude aller chercher ailleurs un repos dont ne jouissait point sa patrie, ruinée par les invasions des Barbares. La réputation de saint Hilaire, celle du disciple qui s’était sanctifié à Ansion l’attirèrent dans le Poitou, et il y vint se ranger parmi les heureux compagnons de Léonégisile, autre étranger qu’avait attiré là un sincère désir de la perfection évangélique. C’est guidé par ce pieux directeur que Généroux prit l’habit religieux.
    Léonégisile étant mort, sa communauté confia à saint Généroux la continuation de sa tâche, que celui-ci remplit avec autant de prudence que de zèle. C’est sous son abbatiat que furent admis à Ansion Paterne et Scubilion qui commencèrent à s’y sanctifier comme nous allons le voir. Dans un village voisin de l’abbaye, Généroux avait fondé un prieuré dont l’église devint paroissiale, et qui reçut son nom après sa mort, laquelle précéda de beaucoup, quoi qu’en en ait dit, la fin du VIe siècle. C’est là que reposa son corps, jusqu’à ce qu’on le vit profané et perdu par la guerre ou l’impiété qui dépouillèrent l’église et dispersèrent son mobilier et ses reliques.

    Note 31 page 415 du livre (463 du pdf) :
    Le droit de présentation à ce prieuré appartenait à l’Abbé de Saint Jouin, et le roi, depuis le concordat de 1516, conférait le bénéfice. (Pouillé de Poitiers, 1782).
    Son église, qui était fortifiée, fut la seule qui échappa dans ce pays aux ravages des Normands, contre lesquels les habitants du bourg se défendirent avec autant de succès que de courage.

    Congrès archéologique de France : Séances générales tenues à Poitiers en 1903 par la Société française pour la conservation des monuments historiques
    Auteur : Société française d’archéologie

    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k356729
    page 73 du livre ou 162 du pdf

    Saint-Généroux

    Suivant une tradition, un religieux de Saint-Jouin, du nom de Généroux, aurait quitté son monastère et se serait réfugié dans une solitude aux bords du Thouet pour s’y livrer tout entier à la prière et à la méditation.
    Sa vertu y attira des disciples, puis les miracles accomplis auprès de son tombeau groupèrent un certain nombre d’habitants. Telle serait l’origine du bourg.
    Saint-Généroux possède une des plus anciennes et des plus curieuses églises de la France. Malgré quelques opinions discordantes, on la considèrent en partie comme un monument carlovingien. Sa construction, d’après les observations de M. J. Berthelé porte l’empreinte de deux époques principales. A la première reviennent les deux murs latéraux, le chevet et le mur intérieur, percé d’arcades, qui forme transept; à la seconde c’est à dire au commencement du XIe siècle, on doit attribuer les trois absides et des deux rangées de piles carrées qui forment les bas-côtés de la nef. Il n’est pas question ici des grandes arcades en arc brisé de la nef et de la façade, dont les dates sont très postérieures.
    Lire la suite sur Gallica sachant que la source du document est :

    Monuments religieux … des Deux-Sèvres, par Ch Arnauld
    Notices sur l’église de Saint-Généroux, par J. Berthelé, dans le carnet d’un antiquaire poitevin, page 284 et collection Robuchon.

    Remarque : à la suite de Saint-Généroux il y a :
    Airvault = page 75 du livre / 165 du pdf
    Avant Saint-Généroux il y a Saint-Jouin-de-Marnes page 70 du livre / 158 du pdf
    Et Parthenay page 45 du livre / 118 du pdf

    L’EGLISE DE SAINT-GENEROUX :

    L’église de Saint Généroux serait la plus ancienne du Poitou d’après Charles Arnauld.
    Source : Mémoires de la Société de statistique du département des Deux-Sèvres – (T4) 1839 – 1840
    Page 175 du livre
    l’église de Saint-Généroux avec celle de Tourtenay sont les seules qui possèdent des restes d’architectures antérieurs au Xe siècle.
    Page 215 du livre

    La personne qui a travaillé sur cette église (et autres églises du Poitou) est :
    Joseph Berthelé (1858-1926), archiviste des départements des Deux-Sèvres de 1882 à 1892, directeur de la Revue poitevine et saintongeaise.
    http://cths.fr/an/prosopo.php?id=1695
    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bec_0373-6237_1926_num_87_1_460527
    Lequel Berthelé fit paraître deux ouvrages de première valeur :
    « Recherches pour servir à l’histoire des art en Poitou (1889) »
    « Carnet de voyage d’un antiquaire poitevin (1896) »

    Bulletin de la Société de statistique des Deux-Sèvres – 1882-1884
    Article de Joseph Berthelé : Archéologie du Moyen-Âge – page 62 à 76
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208700r/f62.image.r=generoux.langFR

    Mais d’autres personnes se sont penchés sur l’histoire de nos monuments religieux, tels que Alfred Ramé, Bélisaire Ledain et même Prosper Mérimée !
    La date de l’église de Saint-Généroux, Alfred Ramé
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208700r/f217.image.r=generoux.langFR

    Trois églises antérieures au XIe siècle : Châtillon sur Thouet – Saint-Clémentin – Voultegon par Bélisaire Ledain
    Bulletins de la Société des antiquaires de l’Ouest – 2e série – Tome 2 – 1880-1882
    Pages 162 à 173
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65704q/f172

    Mémoires de la Société des antiquaires de l’Ouest – 3e Série – Tome XIV – 1937
    Lettres de Prosper Mérimée aux Antiquaires de l’Ouest (début page 47 du livre / 54 du pdf)
    Mérimée à Saint-Généroux :
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56196455/f76.image.r=generoux.langFR
    Page 72 du livre il est dit : Dom Fonteneau dit que St-Généroux est la plus ancienne église du Poitou après le temple St-Jean

    voir aussi :
    Prosper Mérimée – exposition organisée pour commémorer le cent cinquantième anniversaire de sa naissance – 1953
    http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58393151/f101.image.r=generoux.langFR

    et :
    Notice historique et archéologique sur l’abbaye de Saint Jouin de Marnes – Bélisaire Ledain – 1884
    sur Gallica

    Pour l’église et sa restauration, voir
    Travaux de Segretain, architecte (44 plan d’églises), 18. — Archives Départementales des Deux-Sèvres — Série 4N
    Cependant Segretain a été pas mal critiqué pour avoir fait dit-on pas mal de dégâts …..

    LE PONT DE SAINT-GENEROUX – XIIIe siècle

    Inscrit à l’inventaire des monuments historiques le 23 décembre 1926

    http://le-cercle-histo.over-blog.fr/article-le-pont-de-saint-generoux-deux-sevres-70971189.html
    http://fr.structurae.de/structures/data/photos.cfm?id=s0001951

    Très peu d’informations trouvées sur le Net – Il existe une publication qui a été de courte durée vers 1937 :
    Pays Thouarsais, janvier 1937 – Capitaine Marié – Le Pont de Saint-Généroux

    Il y a un seul exemplaire de cette revue à la médiathèque de Thouars
    A chercher dans les médiathèques ou les bouquinistes.

    ======================================================

    HISTOIRE DU VILLAGE

    L’ouvrage de référence sur Saint-Généroux (à part les ouvrages religieux) est :

    Les Seigneurs de Saint-Généroux et d’Argentine, avec notice historique sur Irais, par Maurice Tuzelet – 126 pages – Imprimerie Cante, Parthenay, 1907
    http://search.touzot.fr/tz-scripts/upload/2006810113617%5CAntiqouest.pdf

    Quelles sont les sources de Tuzelet ? Ce doit être aux Archives de la vienne :
    Archives
    G. Debien , G. Ruhlmann , P. Leuilliot
    http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1950_num_5_4_1883
    L’exemple des papiers Frères

    Dans cet ouvrage on y apprend :

    1332 - Peut-être que Guyart de Noirtaire, qui fut assassiné en 1332, était seigneur de Noirtaire en Saint-Généroux, mais nous n’avons trouvé aucun document pouvant nous confirmer dans cette opinion.
    Cet assassinat avait été provoqué par Louis de Thouars et Jean de la Forest.
    Ce dernier était écuyer, seigneur de Sainte Verge et probablement un des ancêtres d’Eustache de la Forest, femme de Maurice Cathus, seigneur des Granges

    6 sept. 1383 – De Chausseroye fPayen), chevalier, seigneur d’Airvault, se maria à Marguerite de la Porte, dame du Breuil-de-Geay (près Saint-Varent).
    A cette époque le Breuil de Saint-Généroux relevait de Moncontour et par conséquent du château de Saumur.
    Payen servait dans les armées du roi et prit part à la Chevauchée de Bourbourg, le 6 septembre 1383. Il mourut la même année.

    17 déc. 1449 - La châtellenie et seigneurie dite de Saint Généroux avaient probablement été créées au profit de Guillaume Gouffier, chevalier,
    seigneur de Boisyet de Maulévrier, premier chambellan du roi qui reçut, le 17 décembre 1449, la seigneurie d’Oiron que Charles VII avait confisquée sur Jean de Xaincoings.
    On avait créé en même temps une prévôté et on y avait installé des notaires

    10 juil. 1488 – obtint de la générosité de son souverain certains objets sis à Saint-Généroux et qui avaient été confisqués sur messire Martin des Bretesches (alias Jousseaume), pour cause de forfaiture.
    Il en rendit aveu à la châtellenie d’Airyault le 10 juillet 1488.
    Un des ancêtres de Martin Jousseaume avait été seigneur de Launay et de Billazais (paroisse de Taizé) et portait de gueules à trois croix pattées d’hermine

    1500 - Revenons maintenant au fief principal, qui va passer, par alliance, entre les mains des Chambret.
    Cette famille habitait depuis longtemps les environs de Saint-Généroux.
    Vers 1500, Pierre Esquot, marié à Jacquette Chambret, possédait des terres et un moulin à Saint-Généroux

    3 oct. 1569 – La seule route importante passait à 3 kilomètres d’Irais, à Douron.
    C’était l’avenue d’Airvault à Moncontour, qui fut ensanglantée à la bataille du 3 octobre 1569.
    Le chemin de Saint-Généroux à Marnes et Poitiers passait près d’Irais. On suivait le chemin de Roche, on traversait Irais par la venelle du Mulon et on rejoignait la route au Busson.
    Quant au chemin de Saint-Jouin à Saint-Généroux, sorte de sentier, il passait à Irais où il prenait le nom de chemin de ….

    1638 - Brion (François), docteur en médecine, seigneur de la Fontaine et du fief et seigneurie de Noirtaire en Saint-Généroux.
    Il portait d’argent au chevron rompu de gueules, accompagné en pointe d’un tourteau de même. Il épousa Marie de Poys et mourut à Thouars en 1638 …

    1664 - C’est ainsi qu’en 1664, plus de trente habitants de la paroisse font leurs déclarations de biens à Artus Gouffier, duc de Rouannais, pair de France, baron de Gonnord,
    Moncoritour et Cursay, seigneur d’Oiron, Saint-Généroux et autres lieux.
    Ce sont Jacques Bâillon, charron; René Baudin, tisserand; Michel Bonneau, vigneron; François Freneau, boulanger; Pierre Reboutet, laboureur; Jean Barreau , laboureur; Pierre Hullin, laboureur; René Georget, laboureur ; Pierre ….

    8 oct. 1667 - Tiercelin d’Appelvoisin (Charles), fils de Charles et de Catherine Dupré, seigneur marquis de la Roche-du-Maine, du Fou, Chistré, Thiors en Saint Généroux, la Loge Fougereuse, Pelvoizin, Candé et autres…
    Il fut chevalier de l’ordre du roi et gentilhomme ordinaire de sa chambre.
    Il fut maintenu noble le 8 octobre 1667 et portait, outre les armes des d’Appelvoisin, celles des Tiercelin consistant d’argent à deux tiercées d’azur, passées en sautoir, cantonnées de quatre ….

    1680 - Frère (Renée) se maria à André de Savignac, sieur de Vieux-Fourneau, lequel en rendit l’aveu en 1680. Actes de l’Etat-Civil de Saint-Généroux.

    1688 - Frère (Salomon), seigneur d’Argentine et de Boisvert, épousa Marie Berthelot, de Tessonnière, vers 1688. Toute sa famille était protestante et lui-même adjura à Saint-Généroux.

    1704 - Il faut citer les frères Duplessis dont l’un, Jacques (1647-1725), sieur de la Rouille, marié à Marie Terrier, a une fille, Thérèse, qui épousa, en 1704, Jean Amillard,
    sieur de Grand Pré et l’autre, Louis, sieur de la Barre, marié à Gilette Caniot, et qui alla plus tard habiter Saint-Généroux.
    Notons également Louis Lecomte de Fonbouc et Fiacre Girard, sieur de la Croix, marié à Marie Carie

    mars 1716 – D’Armagnac (Jean-Joseph) chevalier, comte d’Armagnac, seigneur de Salvert (près de Migné), Isoré, Pouligny, la Brosse-Moreau, Anguitard, Saint-Généroux…,
    lieutenant général des maréchaux de France en Poitou. Il rendit aveu de ces diverses terres et seigneuries en mars 1716 à la Tour de Maubergeon et au château de Chatellerault

    1763 - Ce ne fut qu’au milieu du siècle que Charles-Henri de Laspaix devint le véritable seigneur de Saint-Généroux, après Gabriel le Coigneux.
    Nous le voyons, en 1763, recevoir des déclarations à cause de sa « châtellenie et prévôté, terre et seigneurie de Saint-Généroux.

    1780 - Pendant tout le xvme siècle, Irais, Saint-Généroux, Noizé-les- Baillargeaux, Saint-Jouin, Borcq, Availles… font partie du doyenné de Thouars, qui comptait 60 paroisses. En 1780, Irais avait 350 communiants.

    1780 - Les biens de la paroisse, contrairement à ce qui se passait dans les bourgs environnants tels que : Saint-Généroux et Borcq, n’étaient pas très nombreux, puisqu’ils ne s’élevaient qu’à quarante-six boisselées en 1780

    1782 - Saint-Généroux qui personnifia admirablement la petite ville féodale, régentée par de nombreux seigneurs, eut une population qui s’accrut de siècle en siècle et qui égala presque celle de Saint-Jouin.
    Mais à partir du XVIIe siècle elle diminua peu à peu en 1782 et nous n’y trouvons plus, d’après le Pouillé du diocèse de Poitiers, que 400 communiants.
    La plus grande partie du bourg relevait de Moncontour où il y avait un sénéchal dépendant du château de Saumur

    En 1790, Saint-Généroux, qui était demeuré pendant des siècles une petite enclave du duché d’Anjou, fut mise au rang de commune et fit partie du département des Deux-Sèvres.
    Les Granges de St Généroux : Cette seigneurie, la plus importante de Saint-Généroux, relevait de la baronnie de Moncontour et par conséquent de l’Anjou.
    Le seigneur de Moncontour devait ensuite en faire l’aveu, depuis la prise de Moncontour par Saint-Louis, au château de Saumur

    1790 - C’est ainsi que le 9 brumaire 1790, on écrit de Parthenay à l’administration centrale des Deux-Sèvres, au sujet d’une attaque dirigée par les brigands contre Saint-Loup, Airvault…
    pendant la nuit du 5 brumaire : a Vous avez été instruits par notre correspondance avec le département de l’excursion faite par les brigands sur le canton de Saint-Loup le 5 de ce mois, sur les six heures du soir

    Autres familles associées à Saint-Généroux :

    1375 - Cathus Hugues puis Jean – Seigneurs du Bois (Beauvoir sur Mer) et de Saint Généroux

    En 1407, Hugues Catus, écuyer, seigneur de Saint-Généroux, à cause de Jehanne Jousseaume, sa femme, veuve de Jehan Jourdain, et comme ayant bail de Jehan Jourdain, fils du précédent …

    On trouve aussi la trace d’un Pierre Vidard à St Généroux :
    1563 - Pierre Vidard, conseiller au présidial, échevin depuis un mois, fut élu maire en 1563.
    Il épousa Jacquette Bibard et est qualifié plus tard de seigneur de Saint-Généroux. Une lacune d’une certaine étendue, existant dans les registres et archives de la ville de cette époque, nous laisse dans l’ignorance des actes de sa mairie
    Qui est ce Vidard ?
    Conseiller et maire de Saint-Généroux en 1563, il mourut à Rouen en 1596 où il était député pour l’assemblée de notables.
    Source : Histoire du Poitou par Thibaudeau – Tome VI – page 475 == livre pas trouvé

    Mais on trouve cette famille sur :
    Dictionnaire universel de la noblesse de France par Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles
    http://books.google.fr/books?id=GIkGAAAAQAAJ&lpg=PA218&ots=F6jqiPuPqD&dq=%22Pierre%20Vidard%22%20generoux&pg=PA218#v=onepage&q&f=false

    10 décembre 1642 – Contrat de mariage entre Gédéon de Brettes, seigneur de Cros, avec Claude Dreux, Fille de Simon Dreux et de feue Florence Vidart, sgr de Montrolet et de Saint-Généroux.
    Contrat passé devant Ringuet et Lami, notaires à Montrollet

    12 mai 1653 – Barthélemy Frère, seigneur de la Pommeraie et de Vairé, fit donation à René Frère, seigneur de Vairé, conseiller du roi en l’élection de Niort, de la seigneurie d’Argentières, paroisse de Saint-Généroux, par acte de Coudré, notaire à Saint-Maixent, le 12 mai 1653.
    Source : Recherches complémentaires sur les familles Lévesque et Picoron de Saint-Maixent

    1741 - Il est question de Charles Louis, baron de Saint Généroux qui décède à St Maixent en 1741
    Bulletin de la Société des antiquaires de l’Ouest et des musées de Poitiers – 1907 – pas d’aperçu sur google livre
    Lequel Charles Louis avait épousé Zélie Gilles de la Coudre. Sa belle-fille, de Saint-Généroux

    27 janv. 1518 – à titre de preuve de la grande faveur dont jouissait la famille Gouffier sous le règne de François 1er, nous donnons le texte de lettres de Louise de Savoie à propos d’un aveu rendu le 27 janvier 1518 pour la châtellenie et prévôté de Saint-Généroux
    source :
    Mémoires de la Société des antiquaires de l’Ouest – Volume 9 – 1887
    Aperçu non disponible sur google livre

    Jacques le Vieux, Chevalier, Seigneur de Monguimier à Saint-Généroux était marié à Jacqueline Garnier fille de Pierre Sgr., de la Brouardière de Fenery
    Monguimier : moulin et gué sur le Thouet commune de Saint-Généroux – Monguimer, 1489 (arch. V. Ste Marth 160) – Moulin de Monguymer, 1556 (reg. insin. Thouars)
    Monguimier : Hôtel de Monguimier, à Saint-Généroux, près le pont dudit Saint-Généroux, 1671 (arch. Deux-Sèvres) – Monguimier, 1657 (arch. Barre)
    Source :
    http://www.cc-parthenay.fr/parthenay/creparth/caliber-sainque/biblio/blasons-2.pdf

    Guillaume de L’Esperonnière, marié à Jehanne de Sanzay (15 avril 1482, notaires Raillonet et Hamon à Bressuire), ont une fille Marie de L’Esperonnière qui fut unie par contrat du 28 mars 1510, reçu par d’Olivet, à Nicolas de Villeneuve, écuyer, seigneur de Laspais et de Saint-Généroux, fils de François de Villeneuve et de Marguerite Jousseaume.
    Elle est inscrite au fol. 185 dudit rôle du ban et arrière-ban des Nobles d’Anjou en 1567, pour une contribution de 11 livres, 3 sols, 4 deniers comme dame de Bonnet et de Geay, paroisse de Saint-Généroux et de la Garenne.
    Source (sur Gallica) :
    Histoire généalogique de la maison de L’Esperonnière, de ses alliances et des seigneuries qu’elle a possédées : Anjou, Poitou, Bretagne et Maine, 1156-1889, d’après les archives inédites du château de La Saulaye (Maine-et-Loire) – Théodore Courtaux – 1889

    Saint-Généroux était une paroisse de la baronnie de Moncontour :
    « Faits et anecdotes relatifs à l’histoire de Mirebeau, département de la Vienne » par Eugène Chevallier
    Ouvrage sur Gallica – page 402

  • Quelques trouvailles qui datent:
t-généroux : Cartes postales 1900 gratuites sur St-généroux, illustrations, photos anciennes de St-généroux
Voultegon (Deux-Sèvres) Vieux pont roman sur larivière l'Argent
Voultegon (Deux-Sèvres) Vieux pont roman sur larivière l'Argent

La prise de vue a été effectuée avant 1950 car il n'y a pas sur le monument la plaque de la personne décédée lors de la seconde guerre mondiale.
La prise de vue a été effectuée avant 1950 car il n'y a pas sur le ...
le monument aux morts de saint martin de bernegoue vers 1950/1960 (tout l'entourage a été modifié et est maintenant bien dégagé).
le monument aux morts de saint martin de bernegoue vers 1950/1960 (tout l'entourage a été modifié ...
le bourg de saint martin de bernegoue : au centre l'ancienne épicerie(le sapin et le jardinet ont disparu), à droite la bascule qui n'existe plus et une partie du mur du cimetière a été modifiée pour dégager le monument aux morts.
le bourg de saint martin de bernegoue : au centre l'ancienne épicerie(le sapin et le jardinet ...
le foyer rural construit vers 1958/59 et inauguré le 15 mai 1960.
le foyer rural construit vers 1958/59 et inauguré le 15 mai 1960.
Photos, cartes postales anciennes de St-généroux
St-généroux : Arbre généalogique sur St-généroux, faire sa généalogie à St-généroux, recherchez vos ancêtres sur St-généroux
RAOUL Saint Generoux (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1897 - 1904
AUDOUARD Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1647 - 1752
PILLET Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1722 - 1732
AUDOUARD Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1647 - 1727
BROTTIER Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1874 - 1893
CARDINAL Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1886 - 1919
GUILLOT Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1610 - 1695
HULLIN Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1788 - 1792
PILLET Saint-Généroux,79600 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1610 - 1732
AMILIEN Saint-Généroux,79252 (Deux Sèvres, Poitou-Charentes, France) 1878 - 1913

Gîte d'étape commun

St-GénérouxEn cours de classement 

 
79600 Saint-Généroux
Téléphone : 05 49 67 50 03
Capacité : 6 personnes
Nombre de chambres : 1
 
 
 
Gîte d'étape communal situé prés du Thouet et du centre bourg (restaurant). Zone très calme.
Circuit de randonnées. - Accueil vélo.
Cuisine, petit dortoir (6 lits 1 pers.). Sanitaires extérieurs avec douche,
2 lavabos, wc. Chauffage électrique. Logement chevaux en pré ou en boxes.
Rivière (pêche et canoë). 2 restaurants à proximité.
Futuroscope 50 km. Marais-Poitevin 70 km.
 
Labels
  • Gites de france
  • En cours de classement
 
Nombre de chambres : 1
Conforts
  • Cuisine - coin cuisine
Équipements
  • Barbecue
  • Cour
Services
  • Animaux acceptés
Activités
  • Pêche
  • Randonnée pédestre
TarifsMinMaxDescriptionPériode d'application
Nuitée (meublé) 6.50 € 8.50 € par personne et par nuit hors petit déjeuner. Du 01/01/2013 au 31/12/2013
 


04/06/2013
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