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St Loup tout près de chez moi 7 km

St loup conserve aussi au travers du village ses petits vestiges et conserve son  patrimoine

 

 

 venez découvrir le château de St Loup où Chantal Goya et

Jean Jacques Debout y ont séjournaient :

   

Venez découvrir le barrage du cebron

Informations générales

Type de construction: Barrage en enrochement (terre)
Fonction / utilisation: Ouvrage d'alimentation en eau potable
Autre nom(s): Barrage du Cébron
Achevé en: 1982
Etat: en service

Informations géographiques et ouvrages pertinent

Lieu:

Saint-Loup-sur-Thouet, Saint-Loup-Lamairé, Deux-Sèvres (79),

Poitou-Charente,

France, Europe

Contient le/la
  • Le Cébron

Informations techniques

Dimensions

  hauteur 31 m
longueur 245 m
volume de retenue 11 500 000 m3
volume du barrage 190 000 m3

Intervenants

Conception
Construction
Deveaux, R. & Houis, J. Le barrage du Puy Terrier sur le Cébron, dans "Travaux",
mars 1982, n.

La DCE

La Directive Cadre sur l'Eau est née d'un souci de simplification et de cohérence

entre les Etats-membres de l'Union Européenne pour la lutte

contre la pollution de l'eau.
En France, elle confirme le système de gestion par grands

bassins consacré par les lois

sur l'eau de 1964, de 1992 et de 2006 et le renforce dans

ses principes de gestion hydrographique : Le Schéma Directeur

d'Aménagement et de Gestion des Eaux (S.D.A.G.E.)

OBJECTIFS : atteindre le bon état des eaux et des milieux
aquatiques d'ici 2015 et stopper
la dégradation de la ressource.

La notion de « bon état » correspond par ordre de priorité à :

  1. Des milieux dont les peuplements vivants sont
  2.  diversifiés et équilibrés.
  3. Une qualité de milieux aquatiques permettant
  4.  la plus large panoplie d'usages
  5. (eau potable, irrigation, usages économiques, pêche, intérêts naturalistes... )

Le Thouet est en risque de non atteinte des objectifs pour 2 secteurs :

depuis le Tallud

jusqu'à la confluence avec le Cebron

(cause : Apports pesticides, & présence des barrages)

depuis Thouars jusqu'à la confluence avec l'Argenton

(cause : macropolluants et pesticides)

Le Thouet est en doute de non atteinte des objectifs pour 3 secteurs :

  • depuis Azay sur Thouet jusqu'au Tallud
  •  (Cause : apports pesticides & présence barrages).
  • depuis la confluence avec le Cebron jusqu'à Thouars
  •  (Cause : apports pesticides & présence barrages).
  • depuis la confluence avec l'Argenton jusqu'à la
  • confluence avec la Loire (Cause : apports pesticides et modification
  • de bassin versant)

 

 

[79] DEUX-SEVRES. SAINT-LOUP. Chef-lieu de canton au nord-est

du département des Deux-Sèvres

et de la Gâtine, situé au confluent du Thouet et du Cébron,

Saint-Loup-sur-Thouet a fusionné avec

le village Lamairé en 1973. Le village s'appele depuis

Saint-Loup-Lamairé. Population 1.150 habitants

(les Lupéens).

Origine du nom de la commune : Saint-Loup viendrait de Lupus

évêque canonisé de Limoges

du VIIe siècle. Les premières mentions indiquent Ecclesie Sancti Lupi

au XIe et Sanctus Lupus au

XIIe sicèle. Au XVe siècle, on parle de Sainct-Lou en Poictou, et de

Saint-Loup-en-Poitou en 1761.

Lamairé viendrait du nom gaulois Lamariacum. Saint-Loup au moyen-âge,

a souvent été associé

à Fief-Franc (fief-Franc comprend Saint-Loup, le Chillou et Loin).

Francum feodum en 1258, puis

Saint-Loup-le-Fief-Franc. Après la Révolution, le village pris le nom Voltaire

, en hommage au

philosophe François Marie Arouet qui était originaire de Saint-Loup.

Le pseudonyme Voltaire viendrait de l'anagramme d'Airvault (village jouxtant Saint-Loup).

Histoire de Saint-Loup: position stratégique au confluent des rivières

Thouet et Cébron, entre

les plaines du Haut-Poitou et le Bocage de Gâtine, le site de Saint-Loup

est très tôt occupé et

augmenté d'une fortification militaire. Le premier seigneur connu est Drogon,

mentionné au XIe siècle.

Au moyen-âge, les Dercé nouveaux propriétaires des lieux,

construiront le donjon et la tour carrée.

Le roi de France Jean-le-Bon y sera enfermé par le Prince Noir,

en 1356, après la bataille de Poitiers.

En 1518, Arthus Gouffier, chambellan du roi François Ier, transforme

le château médiéval en

château renaissance. Ses descendants lui donneront la forme actuelle

et construiront le château

de Oiron (plus au nord), fleuron du style renaissance de l'ouest de la France.

La cité est connue

aux XVIIe et XVIIIe siècle par ses tisserands et ses tanneurs installés

le long du Thouet. La famille

Boyer de la Boissière légua les fonds nécessaires à la construction

d’un hospice à Saint Loup,

toujours en activité (actuelle maison de retraite). Il y avait à Saint-Loup

au XIXe siècle, huit moulins.

Fondée en 1894, la laiterie de Saint-Loup produit toujours

un fromage de chèvre célèbre dans le

monde entier. Le marquis Robert de Maussabré, maire de Saint-Loup

de 1944 à 1965, demanda

le classement aux monuments historiques du château et entrepris

la restauration du Château qu

i avait été pillé et endommagé par les nazis.

En 1973, les conseils municipaux de Lamairé et de

Saint Loup décident de fusionner afin de former la commune

de Saint-Loup-Lamairé. Au début

des années 1980, le barrage du Cébron est construit afin de constituer

une réserve d’eau potable

et d’irrigation. Lègué à la Ligue contre le cancer,

le château est vendu en 1987 à Jean-Jacques Debout

et Chantal Goya. Ces derniers animeront beaucoup le château

et le village de Saint-Loup, en

créant un univers (réel) enchanteur pour les enfants du village.

En 1990, Charles-Henri Bartillat

entreprend les restaurations des jardins, du pavillon du canal

et de l'orangerie. Petite cité de caractère

en Deux-Sèvres, la commune dispose d’un patrimoine architectural

et environnemental intéressant.

Armoiries de Saint-Loup : d'argent à deux fasces de gueules,

à l'orle de merlettes du même. Vient des armes de la famille médiévale Dercé.

Drapeau de Saint-Loup : il reprend les armes et la bannière

de Saint-Loup étendues sur toute l'étoffe.

Logo de Saint-Loup-Lamairé : une tour stylisée don

t l'ombre forme un loup hurlant, avec le nom

"Saint-Loup-Lamairé".

Liens et sources :
- site de la ville de Saint-Loup-Lamairé.
- site de la ville de Saint-Loup-Lamairé - Histoire.
- site de la Communauté de Communes du Val de Thouet.
- site du Syndicat Mixte de la Vallée du Thouet.
- site du Pays de Gâtine - Tourisme en Gâtine.
- site du Festival de peintures de Saint-Loup.
- site de présentation de l'orgue de Saint-Loup.
- site du Château de Saint-Loup.
- site G.L.A.C. Charentes-Poitou - Laiterie de Saint-Loup.
- photos aériennes de Saint-Loup.
- le Pays de Gâtine - M. Poignat
.
- Noms de Villes des Deux-Sèvres - J.-M. Cassagne S. Seguin.

 

 

 

 

 l'EGLISE DE ST LOUP CONSTITUE UN DOMAINE ARCHITECTURAL


Vous y retrouvez un père formidable ouvert à tous

accueillant et convivial bon et plein d'humour c'est père Andrè

Je ne connais pas à l'heure actuelle une personne si dévoué et

si ouvert d'esprit d'humour et de sympathie. Merci à lui de se donner

autant de qualité, et de savoir vivre à notre époque il est un des

meilleurs prètres que je connais.Il a aussi une chorale dans sa paroisse

d'une grande qualité et donne envie de l'écouter tant les chants sont si

beau et parfaitement chanter.

L'église Notre-Dame

  • Une première église existait dans l'ancien enclos castral,
  •  non loin du vieux château au nord, mais cette dernière a été détruite.
  • La fondation de l’église Notre-Dame date de la deuxième
  • moitié du XVe siècle. Elle est mentionnée dans le pouillé
  • du diocèse de Poitiers en tant que « prieuré-cure »
  •  de Notre-Dame de Saint-Loup et ne réapparaîtra
  • plus sous le vocable de Saint-Loup à partir du XVIIe siècle.
  • Elle a connu beaucoup de remaniements au cours des
  •  siècles mais son plan primitif est resté inchangé.
  • L’église avait une architecture simple et modeste à la fin
  •  du Moyen Âge. Elle est fondée sur un plan en forme de croix
  • latine terminé par un chevet droit. Chaque angle extérieur
  •  correspond à un contrefort, suivant l’usage pratiqué au XVe siècle.
  •  C’est un plan doté d’une seule nef large, dont les murs gouttereaux
  • sont percés par deux baies flamboyantes. Le chevet s’étendait
  • sur deux travées, terminé par un pan de mur droit qui était
  • ouvert par une large fenêtre flamboyante, comme nous
  •  l’a précisé l’abbé Barbier en 1850. On retrouve ce type
  •  de chevet à Notre-Dame de Bressuire, ou même à
  • Notre-Dame de Courlay. L’ensemble de la nef était voûté
  •  en bois tandis que le chevet avait une voûte basse en pierre,
  •  appuyée sur des nervures prismatiques se confondant avec celles
  •  des colonnes. La façade était ouverte par une porte très sobre dont
  •  l’arc en tiers-point se terminait par une console, certainement
  •  destinée à accueillir une statue. Au registre supérieur se
  •  trouvait une baie flamboyante. Enfin, le niveau le plus élevé
  •  correspondait à un haut pignon triangulaire dont le sommet
  •  formait une bretèche percée par trois baies ouvertes,
  •  qui devaient accueillir autrefois trois clochetons.
  •  D’autres pignons aigus étaient visibles aux extrémités
  • des bras du transept et du chevet, mais ils étaient dépouillés
  •  de leur charpente primitive.
  • À partir de 1877 ont eu lieu de nombreuses réparations,
  •  sur les plans de l’abbé Brisacier. La façade a été démolie,
  • à l’exception des contreforts d’angle, pour laisser place
  •  à une façade percée d’une porte et d’une fenêtre plus
  •  ornementée, conservant le style gothique flamboyant
  • du XVe siècle. Au-dessus de cette dernière s’élève une tour
  •  munie d’une flèche en pierre qui a pris la place de l’ancienne
  •  bretèche. De plus, les parties supérieures des murs de l’église
  •  ont été reprises et des
  •  fenêtres ogivales avec remplages simples ont été mises en
  •  place face à chaque travée, sauf du côté nord
  • où une baie est manquante. Des voûtes en briques ont remplacé
  •  l’ancienne voûte en bois de la nef et celle
  • en pierre du chevet. Seule la voûte primitive du bras de transept
  • nord est restée intacte. Enfin, des nouvelles
  •  charpentes ont été mises en place sur les nouveaux pignons agrémentant l’édifice.
  • Du point de vue ornemental, l’église a conservé un beau retable
  •  d’autel en pierre, du XVIIe siècle, divisé en trois grands
  •  panneaux encadrés par des colonnes autour desquelles
  • s’enroulent en spirale des guirlandes de feuilles sculptées et dorées.
  •  Le panneau central est divisé en deux registres : le registre inférieur
  •  représente la Vierge du
  •  Rosaire tandis que le registre supérieur arbore un fronton et
  •  contient une Notre-Dame de Pitié. Le panneau gauche du retable
  •  est orné d’une statue de saint Bernard et celui de droite
  • d’une statue de sainte Thérèse. Enfin, l’église possède
  • encore d’anciennes statues de sainte Radegonde et de sainte Catherine
  • , ainsi que des tableaux de diverses époques,
  • dont le plus bel exemple représente un Christ en croix
  •  peint à la manière italienne au XIVe siècle.
  • Non loin de l’église, au sud, se trouvait l’ancien cimetière paroissial,
  •  à l’emplacement de l’actuelle place du Docteur Bouchet. La première
  • mention connue date du plan
  •  de 1740 sur lequel elle apparaît. Une autre preuve de son
  •  existence nous provient de 1749,
  •  dans laquelle il est précisé que le cimetière était entouré
  •  « de petits murs et de grilles en ses quatre entrées ».
  • Cependant, on peut penser que ce dernier a été mis en
  •  place en parallèle de l’église Notre-Dame, mais rien n’appuie cette hypothèse.

Développement morphologique urbain

  • Saint-Loup s'est établie en deux temps durant l'époque médiévale :
  • une première phase au sein d'un enclos castral doté d'un noyau
  • seigneurial et d'un ancien prieuré, et
  •  une seconde phase à la fin du XVe siècle autour de l'axe nord-sud
  •  formé par l'actuelle rue Théophane Vénard.
  • Dès le XVe siècle apparaîtra le quadrillage plus ou moins régulier qui
  • compose la ville. Ce dernier est d'ailleurs toujours en place de nos jours
  • et les rues n'ont pas changé,
  •  comme le montre le plan de 174013 ou le cadastre ancien. On peut donc
  •  encore apercevoir des maisons à pan
  •  de bois de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle qui longent
  •  ces rues et surtout la rue principale reliant l'ancien château
  • à l'église Notre-Dame, c'est-à-dire la rue Théophane Vénard.

Morphologiestloup.jpg

Lieux et monuments

Situation

La ville de Saint-Loup-sur-Thouet se situe au nord-est des Deux-Sèvres, au confluent du Thouet et du Cébron, entre la Gâtine à l’ouest, le Bocage au nord-ouest et les plaines du Thouarsais à l’est. D’ailleurs, les habitants — les Lupéens — ne se considèrent ni comme les uns, ni comme les autres, malgré la faible distance qui sépare ces trois reliefs différents[précision nécessaire].

La ville est construite directement sur un socle ancien primaire usé par l’érosion, composé de roches dures, granit et granulite. On retrouve ainsi à Saint-Loup plusieurs types de roches qui dépendent de l’érosion du granit. Par exemple, les parties les moins résistantes forment de la roche sableuse tandis que le granit décomposé par l’oxyde de fer se transforme en roche friable de couleur rougeâtre, que l’on retrouve dans certains mortiers anciens. Cependant, ce sont les terres argilo-siliceuses d’origine tertiaire qui dominent la commune.

La ville est établie à environ soixante-dix kilomètres de Poitiers, à une trentaine de kilomètres de Thouars et de Bressuire, et à une vingtaine de kilomètres de Parthenay.

Avantages et contraintes du site

Le pont du chemin de fer sur le Thouet à Saint-Loup-sur-Thouet
Le lac du Cébronen limites    de Gourgé et Saint-Loup-Lamairé

     Le lac du Cébron est un site naturel où l'on peut pratiquer des loisirs dans le respect de la faune et de la flore comme la planche à voile, la pêche et la randonnée. Ce site de production d'eau s'étend sur plus de 85 hectares. C'est un endroit calme où l'environnement est respecté.

     Muni de vos jumelles, il vous suffit de prendre un peu de temps et d'observer la diversité des oiseaux. Plus de 250 espèces répertoriés; poules d'eau, canards plongeurs, harles piettes, faucon pèlerin... C'est un grand axe migratoire de l'Ouest.

     Le lac du Cébron offre une alternance entre plage de sables et affleurement rocheux.

Saint-Loup s’inscrit dans un fond de vallée entouré par des collines. Le centre-ville est à une altitude moyenne de 74 mètres au-dessus de la mer tandis que les petites collines qui

englobent la ville s’échelonnent entre 110 et 140 mètres en moyenne, le point culminant

étant à 162 mètres d’altitude.

Le Thouet n’est pas navigable mais pouvait être utilisé pour faire fonctionner des moulins

. Il forme une grande boucle à partir de Saint-Loup, dont la rive gauche est dominée

par des collines boisées et dont la rive droite est plutôt plane et alluviale, au contact

direct avec la ville. S’ajoute à cette rivière son affluent sur sa rive gauche, le Cébron,

né lui aussi dans la Gâtine. Ces deux cours d’eau ont apporté leurs avantages mai

s aussi leurs contraintes au site de Saint-Loup. En effet, ces derniers ont permis

d’obtenir deux barrières naturelles non négligeables pour défendre la ville au cours

du Moyen Âge. Ils ont en outre apporté une certaine fertilité aux terres environnantes,

facilitant ainsi la vie quotidienne des habitants. Mais en contrepartie, la proximité du

Thouet et du Cébron, et la faible altitude du site ont dû causer de nombreuse

s inondations au cours des siècles. Le barrage du Cébron a considérablement

régulé ces crues, mais il n’existait pas au Moyen Âge. Des parties de la ville

ont certainement dû subir plusieurs phases de reconstructions.

Les accès à la ville sont assez peu conséquents. Au nord, on peut rejoindre

Louin, Airvault et Thouars ; au sud, on peut atteindre Le Chillou, Gourgé,

et par ce même axe Parthenay ; à l’ouest, on peut se rendre au petit bourg

d'Amailloux et à l'est, en passant par Assais-les-Jumeaux, on peut rejoindre

la route de Poitiers.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Saint-Loup-sur-Thouet

Rose des vents Louin Airvault   Rose des vents
  N Assais-les-Jumeaux
O    Saint-Loup-Lamairé (Saint-Loup-sur-Thouet)    E
S
  Gourgé Le Chillou
Saint-Loup-Lamairé (enclave de Lamairé)

Communes limitrophes de l'enclave de Lamairé

Rose des vents Saint-Loup-Lamairé (Saint-Loup-sur-Thouet) Le Chillou   Rose des vents
  N Pressigny
O    Saint-Loup-Lamairé (Lamairé)    E
S
Gourgé Aubigny  

Économie

Histoire et archéologie

Étymologie

Seul Bélisaire Ledain2 a apporté le résultat de ses recherches dans son "Dictionnaire Topographique des Deux-Sèvres".

Saint-Loup a connu deux noms radicalement différents, certaines mentions tardives s’en ressentent. En effet, Saint-Loup détermine la ville tandis que le Fief-Franc est un ensemble comprenant Saint-Loup et deux petits bourgs environnants, Le Chillou et Louin.

La première mention écrite de Saint-Loup provient de la charte de réforme de l’abbaye

d’Airvault par l’évêque de Poitiers Pierre II, en 1095-1096. On y retrouve les termes

latins suivants : « Ecclesie Sancti Lupi et Sancti Pancratii ». La seconde mention apportée

 par les recherches de Bélisaire Ledain ne donnent pas de datation précise ; en effet,

il se contente de rapporter « sanctus Lupus » du XIIe siècle. Il a retrouvé ensuite

une forme de 1356, parlant d’une « Aumônerie de Saint-Loup », la même écriture

se retrouvant encore en 1376 mais aussi en 1391. Elle changera en 1422

puisqu’on retrouve la forme « Saint-Lou ». La fin du Moyen Âge permet

quant à elle d’obtenir un nombre plus conséquent de mentions écrites.

En effet, on retrouve successivement les mentions de « Sainct-Loup »

en 1461, du « château de Saint-Loup » en 1463, du « seigneur de Saint-Lou »

en janvier 1476, de « Saint Lou en Poictou » en janvier 1479, de « Sainct-Loup

» en décembre 1480, et enfin de « Sainct-Lou » en mai 1482. Toutes les autres formes proviennent ensuite de l’Époque moderne. On retrouve successivement les mentions de « Saint-Loup » en 1569, « Saint-Lou » en 1598, du « Prieuré-Cure de Notre-Dame

de Saint-Loup » en 1648, puis d’un « hôpital fondé en 1710 par Jacques de Boyer

de la boissière » . La dernière mention de cette période étant celle de

« Saint-Loup-en-Poitou » en 1761. En ce qui concerne les formes de l’époque

contemporaine, on retrouve régulièrement « Saint-Loup-sur-Thouet » et plus

récemment « Saint-Loup-Lamairé », la commune de Lamairé ayant été annexée

il y a quelques années. En septembre 2011, le conseil municipal a pris une

délibération afin d'entamer une procédure de demande auprès du Conseil d'État

pour le retour à la dénomination historique : « Saint-Loup-sur-Thouet ».

En ce qui concerne le Fief-Franc, on retrouve tout d’abord les termes

« Francum feodum » en 1258. C’est la première forme connue à ce jour

, la seconde mention étant « Feodum francum » de 1263 d’après un texte

de l’abbé Vincent d’Airvault. On en obtient seulement trois autres mentions

plus tardives : « Saint-Loup le fié-franc » en 1413, « le fief-franc de Saint-Loup »

en 1424 et « Fief-Franc et Saint-Loup » en 1447.

Héraldique

Blason Blasonnement :
Deux écus accolés : D’argent aux deux faces de gueules
accompagnées de neuf merlettes du même ordonnées
en orle 4.2.2.1 et de gueules aux trois pals de vair au chef d’or3.

Démographie

Jusqu'au début des années 1970, Lamairé et Saint-Loup-sur-Thouet étaient

deux communes distinctes avant de fusionner. Le total des deux communes

a culminé à plus de 2 100 habitants en 1831 avant de régresser régulièrement

jusqu'à tomber en dessous de 1 000 habitants au premier recensement du XXIe siècle.

 

La laiterie de st loup à ne pas l'exclure grosse productivité et emplois de la région:

Saint Loup sur Thouet
Certification et démarche qualité : IFS, HACCP
Laiterie du Gateau
79600 Saint Loup sur Thouet
Sur les berges du Thouet, au milieu du bocage de Gâtine, la laiterie de Saint-Loup
est l’emblème français du fromage de chèvre à pâte lactique affinée. Cette usine a
été intégrée au GLAC en 1979.

Leader sur son marché, particulièrement à la pointe des techniques fromagères,
elle fabrique plus d’un million de fromages par semaine parmi lesquels le plus connu est le Saint Loup.

Très réactive, elle peut répondre à d’importantes commandes et peut fabrique
r jusqu’à 18 000 tonnes de fromage de chèvre par an.
Cliquez ici pour accéder à la vidéo de l'usine
Liste des produits fabriqués
  • Chèvre long Noblesse Bougon
  • L'Étoile de Bougon
  • Le Dail
  • Sainte Maure Bougon
  • Sainte Maure Saint-Loup
  • Laiterie et fromagerie industrielles de la Société française

  •  des laits de chèvre ; actuellement école

    Histoire : Cette fromagerie est créée aux alentours de 1905 par
  • M. Chevalier sous le nom de Société française des laits de chèvre.
  •  Les fromages de chèvre sont expédiés à Paris et dans les villes de
  • la région. Cette fromagerie fonctionne jusque vers 1930. En 1961,
  •  les locaux sont complètement transformés pour accueillir une maison
  •  familiale rurale. De nouveaux travaux sont entrepris en 1998.En 1917,
  • neuf personnes, presque exclusivement des femmes, assurent la fabrication,
  • l'emballage et l'expédition des fromages. Plus tard, 30 employés y sont mentionnés.
    Adresse : route de Crémille

    Type : Inventaire général du patrimoine culturel
    Epoque : 1er quart 20e siècle
    Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu

    Laiterie et fromagerie industrielles du Gâteau

    Histoire : De la fondation de cette laiterie coopérative en 1894, il ne reste
  •  aucun bâtiment. Les plus anciens actuellement visibles sur le site datent
  • des années 1910 ; il s'agit d'une caséinerie, appelée la Mutuelle caséine du
  •  Gâteau, d'un logement et d'une porcherie (sur les trois construites). En 1924
  • débute
  • la fabrication de fromage dans un atelier construit à cet effet. De nouveaux
  •  bâtiments sont édifiés en 1931, sur lesquels une plaque rappelle le souvenir
  • d'Eugène Pérault, fondateur-directeur de la laiterie, à qui a succédé son fils
  • , Stéphane. La caséinerie est agrandie vers 1935 par un bâtiment exactement
  • semblable qui lui est accolé. Un corps de bâtiment comprenant un nouveau quai de réception du lait, des bureaux et un grand laboratoire est édifié dans les années
  •  1950. Un atelier destiné à la fabrication de poudre de lait selon le procédé Spray est construit en 1962 ; il est remplacé plus tard par un atelier plus grand. La production
  •  de poudre de lait cesse vers 1972, lorsque toute la production de l'Union laitière des Deux-Sèvres est regroupée à Champdeniers. La société Capribeur, qui regroupe les laiteries de Saint-Loup et de Lezay, se forme en 1977. Peu à peu, l'usine se spécialise
  •  dans la fabrication de fromages au lait de chèvre. La production de beurre cesse en
  •  1992, alors qu'est édifiée une immense fromagerie sur l'emplacement de l'ancienne et de l'atelier de poudre de lait.En 1932, 47 personnes y travaillent. En 2002, 140
  •  personnes sont rattachées à ce site, dont environ 115 pour la production même.
    Adresse : R.D. 29

    Type : Inventaire général du patrimoine culturel
    Epoque : 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle ;
  • 4e quart 20e siècle
    Année de construction : 1931 ; 1962 ; 1992
    Auteur(s) : maître d'oeuvre inconnu
  • photo de la notice


06/02/2013
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